Harsiésis
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 Jonathan J. O'Neill [OK]

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MessageSujet: Jonathan J. O'Neill [OK]   Jonathan J. O'Neill [OK] Icon_minitimeMar 19 Avr - 17:49

© smoothie
♥. JONATHAN « JACK » O'NEILL .♥

    Race ... Tau'ri
    Age [date de naissance] ... 49 ans [20/10/62]
    Nationalité ... américaine
    Militaire ou Civil ... militaire
    Profession ... Commandant du SG-C
    Grade dans l'armée ... Général
    Base d'affectation ... SG-C
    Équipe d'affectation ... //
    Caractère ...
    Feat ... Richard D. Anderson

    J'aime : Embêter Daniel. Les Simpson. Jouer l'idiot devant les explications super compliquées de Sam et de Daniel. Mettre une pâtée aux Goa'ulds, la pêche et la bière.

    Je n'aime pas : Les Goa'ulds. Les Hypocrites, les armes à feu et les surprises.

    Ma plus grande peur : La mort de mon fils

    Mon cauchemar a répétition : La mort de mon fils

    Le plus beau rêve que j'ai fais : Retrouver mon fils

    Mon plus beau souvenir : Mon mariage avec Sam en octobre.

    Ma plus grosse bagarre : Celle avec Anubis

    real LIFE .

    Pseudo ... Lily
    Age ... 27 ans
    Localisation ... Nancy Powaaa ♥
    Code de Validation ... « OK »
    Double Compte ... Hermiod





Dernière édition par Jack O'Neill le Mar 10 Mai - 12:52, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Jonathan J. O'Neill [OK]   Jonathan J. O'Neill [OK] Icon_minitimeMar 19 Avr - 17:50



    son HISTOIRE . 20 lignes minimum

    Chapter one ; Le début d'une vie

    Je suis né à Chicago dans l’Illinois mais j’ai grandi dans le Minnesota. Je trouve d’ailleurs que c’est le plus bel état des Etats-Unis, avec sa verdure, ses prairies, ses lacs et son calme. Ma mère, je crois, a toujours été en manque d’affection. Tout petit bout de femme et bien portante, elle me suivait partout où j’allais, comme si le fait de ne plus être dans son champ de vision allait me la faire oublier. Elle aimait me serrer dans ses bras. Pas que je n’aimais pas ça mais bon, les câlins à longueur de journée ça va cinq minutes mais mon père disait toujours que cela la rendait malheureuse si je refusais, alors je la laissais faire. Mon père était pilote de chasse dans l’armée de l’air. Je l’ai toujours admiré pour ce qu’il était. Il était juste et droit, fier de ses origines. Il n’a jamais eu un mot plus haut que l’autre. C’était un combattant exceptionnel, bien que lui pense le contraire. Il disait toujours que les meilleurs pilotes étaient ceux qui se pensaient plus mauvais que les autres, il aurait du s’écouter. J’avais toujours le droit à une maquette d’avion lorsqu’il rentrait de mission. Je dois avoir trois étagères pleines. elles sont toutes annotées du jour où je l’ai reçu ainsi que du modèle d’avion qu’elles représentent. J’ai toujours voulu voler sur un F-14 comme mon père. Il disait toujours que c’était dangereux et que je ne devrais pas prendre sa voie, qu’il y avait bien d’autres métiers sur Terre pour ne pas entrer dans l’armée. Je soupçonne ma mère de lui avoir fait la morale pour ne pas que j’aille voler. Ma mère a toujours eu peur qu’il arrive quelque chose à mon père et elle détestait voir des militaires sonner à sa porte. Pourtant, malgré les interdits de mon père je n’ai jamais pensé à autre chose qu’à voler et à neuf ans je suis monté dans le cockpit du F-14 de mon père. C’était mon cadeau d’anniversaire. Il m’a fait mon baptême de l’air sous le regard de ma mère qui voyait parfaitement qu’elle n’obtiendrait pas gain de cause dans son choix de carrière pour moi. J’allais à l’école, je n’ai jamais tellement aimer y aller. A vrai dire, je n’ai jamais été un bourreau de travail et étudier les mathématiques et les sciences, je n’aimais pas ça. Je préférais nettement l’histoire et le sport. Mais comme dirait mon père, il faut de tout pour faire un monde. Je n’ai pourtant jamais redoublé de classe, ma mère n’aurait pas supporté et moi non plus. Autant passer le moins de temps à l’école et arriver plus vite à l’âge de raison et l’âge où je pouvais entrer dans l’US Air Force. Plus les années ont passé, plus j’avais ce désir vivant d’entrer dans l’armée et devenir pilote de chasse. Ma mère en devenait malade. Elle s’inquiétait pour mon père et maintenant elle allait s’inquiéter pour moi. A l’âge de dix ans, mon frère et ma sœur vinrent au monde. Grossesse inattendue, Elliot et Lucy furent pour ma mère une autre raison de s’inquiéter pour rien. Elle était avec les jumeaux comme elle l’était avec moi. Sauf que les deux gamins, eux, n’en avaient que faire de l’armée. Ils étaient plutôt plongés dans les sciences. Tout mon opposé. Ma mère les a plus que choyés et pourtant ils ne sont jamais devenus ces gamins pourris gâtés qu’ils auraient pu devenir. Je crois qu’ils m’avaient en exemple… d’accord, j’admets que je ne suis pas le meilleur exemple de grand frère mais je dois quand même préciser que je leur ai toujours appris les vraies valeurs humaines.

    A onze ans, à la place d’un vélo rouge que j’avais demandé j’ai eu des rollers. Parait-il que le vélo c’est trop dangereux… mais bien sûr… comme si j’allais croire mon si admirable père, pilote de chasse qui risque sa vie tous les jours. J’ai toujours soupçonné ma mère d’être derrière cette histoire et qu’elle ne voulait pas que j’ai un vélo rouge – ou de n’importe quelle couleur – pour que je ne puisse pas me rendre dans le village voisin et aller voir Magaly. Ma jolie Magaly. On était dans le même collège et je dois admettre qu’elle ne me laissait pas indifférente. J’ai donc eu des rollers qui me donnèrent ma première cicatrice au genou droit. Mais lorsque l’on me demande je fins ne pas me souvenir d’où elle vient… A quinze ans, je suis allé dans la base militaire de mon père. Nous n’habitions pas dans la base, mon père ne l’avait jamais voulu. Pourtant, on aurait pu mais il voulait nous protéger de tout ça. Après réflexion, je crois qu’il a eu raison. Les jumeaux se sont bien plus épanouis loin de la base. Dans la base de mon père, j’ai tout visité, bien que je la connaissais déjà pour y avoir été le jour de mes neuf, je ne l’avais jamais visité de long en large. Je suis allé dans tous les recoins qu’elle pouvait contenir, rencontré les collègues de mon père. J’y ai rencontré Charles Kawalsky. Il est devenu mon meilleur pote. Lui aussi visitait la base militaire de son père pour la première fois. On s’est rencontré au Mess. Mon père et le sien avaient commencé à discuter de nous, forcément. Et nous, on a fait connaissance. On a fini la journée ensemble à discuter de ce que pourrait être notre avenir dans l’US Air Force. Lui aussi voulait entrer dans l’armée.

    Chapter two ; A vos ordres Mon Général

    L’année de mes seize ans, j’ai eu mon permis de conduire. Je me souviens des kilomètres de route que l’on a fait mon père et moi, une bière à la main. Oui, je sais ce n’est pas bien de boire de la bière au volant d’une voiture mais dans le Minnesota, il n’y a pas grand monde à part des vaches et puis, mon père ne me l’avait pas interdit. C’est lui qui m’a fait découvrir la bière et là-dessus je ne le remercierais jamais assez. Dès lors j’emmenais les jumeaux partout où ils allaient. J’aimais bien passer du temps avec eux. Même si j’ai dix ans de plus qu’eux j’ai toujours été proches d’eux. Parfois, j’ai du mal à entrer dans leurs délires mais ça, je crois que c’est normal. Ils passent leur vie collés l’un à l’autre. Lorsque j’ai eu dix-sept ans et mon bac en poche, je suis entré dans l’armée. Le choc pour ma mère. Bien qu’elle le savait depuis longtemps, elle avait toujours eu cet espoir que je change d’avis. Je n’ai jamais changé d’avis et je me suis engagé dans l’US Air Force en tant que simple soldat. Il faut bien commencer quelque part. Charlie était là, lui aussi. On s’est tapé de bons délires tous les deux. Plus respectueux que moi pour le règlement, il est monté en grade plus rapidement. Les officiers m’ont toujours dit que j’étais un fin stratège – je n’ai jamais réellement compris pourquoi – et que j’irais loin si je respectais un peu plus les règles. Pourquoi faire les règles ? Mon dossier d’insubordination est aussi long que mon bras voire plus mais que voulez-vous, je ne suis pas un de ces moutons qui suit bêtement un ordre. C’est à dix-neuf ans que je suis passé Lieutenant, malgré mon manque total de respect j’étais – il parait – un très bon élément. J’ai entamé la formation pour devenir pilote. Charlie aussi. Il était également Lieutenant, depuis bien plus longtemps. Je me souviens que durant les entrainements on se faisait des courses d’avion tous les deux. Les officiers ne me croyaient jamais lorsque je disais que c’était Charlie l’initiateur de ça. En même temps entre un insubordonné chronique et un respectueux du règlement, le choix est vite fait. Je dois avouer que cela ne m’a jamais dérangé que l’on ne me croit pas. Avec Charlie on pouvait aller au bout du monde ensembles.

    A vingt-deux ans, je suis parti au Viêtnam. J’ai passé un an là-bas, j’y ai appris mes meilleurs stratégies de combat. Charlie était venu aussi. La guerre nous a marqué à vie même si on nous considérait comme fort – d’après les tas de psychologues que l’on avait pu voir. Ça marque un homme quoi que l’on en dise. J’ai eu une permission en rentrant chez moi. Je suis parti m’exiler dans la maison familiale durant trois semaines. Les jumeaux étaient contents de me revoir, ma mère aussi. Elle guettait tous les jours l’allée du jardin pour espérer ne pas y voir des militaires venant lui annoncer un drame. Cela n’est jamais venu. J’ai reçu tout un tas de médaille pour service rendu à la patrie, pour combattant exceptionnel… je n’y ai jamais prêté attention. Je n’ai jamais trouvé que je méritais ces médailles. Kawalski, lui est passé Capitaine. Moi ? Il allait falloir que j’attende un peu. Disons que les Officiers n’aiment pas qu’on leur tienne tête, surtout lorsque l’on a raison et eux tord. Bref, je suis resté Lieutenant et j’ai continué ma petite vie de pilote de chasse. Charlie et moi on volait toujours en duo quelque soit la mission. C’était lui et moi à la vie, à la mort, comme dirait certains. Un an après mon retour du Viêtnam, je me suis engagé chez les Back-OPS. A vrai dire, je n’y avais jamais pensé, j’étais bien pilote de chasse mais le chef de section voyait en moi un bon élément qui avait sa place au sein de son groupe. Au début, j’ai refusé. Je ne voulais pas quitter mon coéquipier de vol. Je crois que le chef de section me voulait absolument dans son équipe car il a engagé Charlie en même temps que moi. Nous avons dit oui. Nous sommes donc entrés dans les Forces Spéciales autrement appelées les Commando. Charlie est passé Major et moi Capitaine. C’est étrange, je ne suis jamais allé à l’encontre des ordres de Charlie. Je crois qu’on était bien trop proches pour que son grade supérieur et mon grade inférieur ne soient un problème. On était des coéquipiers quoiqu’il advienne. Les missions aux Black-OPS me donnaient une excitation que je n’avais plus connu depuis mes débuts sur un F-14. C’est lui qui fut le Chef de la Mission en RDA. Nous devions récupérer un agent russe mais nous avons perdu des hommes. Beaucoup d’hommes et d’amis. Nous nous en sommes jamais remis. On préfère, d’ailleurs ne pas en parler. Charlie est comme moi, il n’aime pas parler du passé, surtout lorsqu’il est douloureux.

    Chapter three ; Amour quand tu nous tiens

    C’est en 1986 que j’ai rencontré ma femme Sara. J’étais à Washington en mission secrète. J’y ai rencontré Sara. Elle était elle aussi à la Maison Blanche pour ce cocktail donné par un proche du Président. J’y étais en tant que garde du corps. Mon équipe aussi. On était cinq en tout. J’étais Major, comme Charlie. Avec Sara, on a fini par se revoir et nous ne nous sommes plus quittés. Nous nous sommes mariés l’année d’après dans le Minnesota. Elle aussi aimait bien cet état. Ma mère trouvait que l’on s’était marié trop tôt. Sans doute mais on ne souhaitait pas vivre l’un sans l’autre. Nous sommes partis en Egypte pour notre lune de miel. Si j’avais su à l’époque ce que cette période historique allait faire de ma vie, je ne l’aurais jamais cru. C’est en 1987 que Sara donna naissance à notre fils Charlie. Kawalsky en est devenu le parrain. C’était un gamin formidable. Toujours curieux de tout, gentil et serviable. Tout sa mère en réalité. Il adorait le base-ball. On en faisait toujours dans le jardin quand je rentrais à la maison. En 1991, je suis parti au Koweït en mission secrète. Charlie ne m’accompagnait pas, il était en Afghanistan pour la récupération d’un agent américain infiltré. La mission que j’ai faite ma valu mon grade de Colonel et une médaille, encore. Ma mission a duré plus de neuf mois. Je suis rentré aux Etats-Unis, mon fils venait de fêter ses cinq ans. L’année 1993 fut la pire année de ma vie. C’était en aout très exactement. Je suis coupable de ce qu’il s’est passé. Je n’ai jamais réussi à me pardonner et je n’y arriverais jamais. Kawalsky et moi, on revenait de mission d’un mois. J’étais en permission et je suis rentré à la maison. Mon fils venait d’avoir six ans. Même s’il était jeune, on avait du mal à communiquer tous les deux. Je n’étais jamais là et je crois qu’il me le reprochait. Il avait raison. Je lui avais ramené un balle de base-ball et je me souviens qu’il n’en avait pas voulu. Il est parti dans la maison me laissant seul dans le jardin. Sara était venue me rejoindre en me disant que cela lui passerait. Peut-être… je ne le saurais jamais. Lorsque la détonation a retenti tout s’est arrêté. Même mon cœur. Celui de Sara aussi. Pourtant, ce bruit je l’avais entendu des millions de fois mais ce jour-là il n’avait pas retenti comme d’habitude. Un claquement sec qui ne m’avait jamais fait autant souffrir. Même maintenant quand je l’entends ailleurs, il ne me donne pas cette impression que l’on vient de mourir. Je suis mort ce jour-là en même temps que Charlie. Je suis coupable d’avoir laissé mon arme de service à la maison. Charlie l’avait trouvé et s’est tué avec. J’en fus anéanti, pourtant je n’ai jamais pleuré sa mort. Je suis mort avec lui. Sara n’a jamais pu oublié mais elle m’a pardonnée. Moi c’est l’inverse, je ne me suis jamais pardonné mais il m’arrive d’oublier.

    Chapter four ; Mission Abydos

    1994. L’année suivante de la mort de Charlie. J’étais en dépression. Je ne faisais plus de mission. Même Charlie n’arrivait pas à me refaire vivre. Les courses d’avion ne m’intéressait plus. Sara essayait tant bien que mal de recommencer à vivre. Son père était venu vivre à la maison. Je n’ai jamais été très proche de lui. Je crois qu’il ne m’a jamais pardonné pour mon fils. L’Air Force est venue me chercher chez moi sous l’aval du Commandant des Black-OPS. Mission secrète et dangereuse. J’ai accepté immédiatement. Je crois que je voulais mourir là-bas. Je suis allé dans le complexe du NORAD et c’est là que j’ai fais la rencontre de Daniel Jackson. Un archéologue détestable. Je me souviens quand le Général Hammond m’a expliqué le caractère de la mission, j’ai ris. Une porte capable d’aller de la Terre sur une autre planète. Soit. C’est alors que Daniel est entré dans des explications qui m’ont saoulé dès qu’il a commencé à prononcer le mot théorie, soit à sa deuxième phrase. Là-bas, on a fait la rencontre d’un peuple, les abydosiens et de Skaraa. Il me faisait pensé à mon fils. Je me suis pris d’affection pour lui. Mais nous avons aussi fait la connaissance de Râ, un Maitre Goa’uld se prenant pour un Dieu tout puissant. C’est juste un parasite immonde qui prend un humain pour hôte et qui réduit un peuple en esclavage. Je n’appelle pas ça un dieu. Mais ce n’est qu’un point de vue et apparemment tout le monde n’a pas le même que moi. L’armée voulait que l’on fasse sauter la planète avec une bombe nucléaire pour éviter que l’ennemi ne franchisse ce que l’on appelait porte des Etoiles… et détruire juste la porte en revenant sur Terre n’aurait-il pas été plus efficace qu’une bombe pour anéantir une planète peuplée par des gens qui n’avaient rien demandé à personne ? Mais mon état ne me permis pas de contredire cet ordre. Aigri et anéanti, je n’avais pas fait le deuil de mon fils et ce qu’il pouvait arriver à d’autres, cela m’était égal. Ce fut Kawalski qui pris la décision. Je l’ai approuvé, je ne sais pas pourquoi. Sans doute parce que Charlie était le seul à qui je parlais sans m’énerver. Le seul qui avait ce droit sur moi à cette période. Daniel avait rencontré une femme sur Abydos. Il y resta pour elle mais également pour les découvertes faites sur la planète. Avec Kawalski et les abydosiens nous avons tué Râ et nous sommes rentrés chez nous, sans avoir fait explosé la bombe. Daniel fut déclaré comme mort. Chacun ayant la même version comme quoi on avait fait exploser la bombe et qu’il n’y avait plus de danger, le dossier fut classé. Je suis rentré chez moi. Sara avait décidé de me quitter. Qui pouvait lui en vouloir ? J’ai pris ma retraite anticipée des Black-OPS et de l’US Air Force et je suis allé m’enterrer dans une maison dans le Minnesota. Mes parents ne me voyaient plus. Je ne voulais pas les voir et parler encore de mon fils.

    Chapter five ; STARGATE


    Moi qui pensait pouvoir être tranquille jusqu’à la fin de ma vie, je m’étais bien trompé. L’armée est revenue me chercher. Pourtant, j’ai eu beau leur expliquer que j’étais à la retraite donc un civil et qu’ils n’avaient par conséquent aucun ordre à me donner, j’ai quand même du les suivre après que le Général Hammond me lance bien tranquillement que je n’avais pas besoin d’être civil pour ne pas obéir aux ordres. Oui je suis insubordonné et alors ? Ils m’ont donc ramené au SG-C, ou Stargate Command, dans le complexe de Cheyenne Mountain. J’y fus interrogé sur la mission de l’année passée. J’ai redis ce que j’avais écris avant. Nous avions désobéi aux ordres et mentis sur un rapport fédéral, c’était la cours martiale qui nous attendait même si techniquement je ne pouvais plus y aller vu que j’étais civil. J’ai rejoins Kawalski dans une cellule. Autant dire qu’on était mal. C’est là qu’on a fini par apprendre qu’un Goa’uld était venu sur Terre par la Porte des Etoiles et avait emporté avec lui, une militaire. Il a fallu qu’on raconte la vérité. Nous sommes retournés sur Abydos pour avoir des explications. Daniel était marié à Sha’re. Convaincu qu’il y avait plusieurs planètes pourvues de Porte des Etoiles, ils nous affirma que personne n’avait franchi la porte depuis notre départ. C’est la capture de sa femme qui le fit accepter de rejoindre la Terre. SG-1 était né. Je reprenais du service. D’ailleurs, j’aime bien rétorquer au Général Hammond quand il me remet à ma place qu’il est venu me chercher dans ma retraite. Le Capitaine Carter fut affectée à notre équipe. Une scientifique encore. L’armée doit me haïr pour ne me mettre qu’avec des scientifiques. Kawalski lui a eu le commandement de SG-2. Nous sommes partis en mission sur Chulak et c’est là que nous avons fait la rencontre du dernier membre de l’équipe, Teal’C, un Jaffa au grand cœur. Après notre retour de Chulak, j’ai perdu Charlie infesté par une larve de Goa’uld, nous l’avons tué. J’ai du mal à m’en remettre je dois l’avouer, c’était mon meilleur ami. Durant ces nombreuses années aux côtés de Daniel, j’ai appris à l’apprécié et aujourd’hui il a pris une place qui sera difficile de lui retirer. Il est devenu mon meilleur ami. Nous avons combattu les Goa’ulds en tuant tous ceux que l’on pouvait : Hator, Seth, Cronos, Sokar, Apophys et bien d’autres encore. Nous avons fait la rencontre d’autres races de la Galaxie, comme les Nox, les Asgards et leur peau grise, les Tollan, les Kélowniens… Il y a eu aussi les Réplicateurs et les Oris. Méchantes races que l’on a réussi à exterminer avec l’aide des Asgards et des Goa’ulds. Et oui, quand il s’agit de défendre leur territoire les Goa’ulds peuvent faire d’excellents alliés. Nous sommes toujours en guerre contre eux bien qu’il n’en reste que très peu. Anubis fut tué en Antarctique voici deux ans. Ce qui m’a valu mon grade de Général.
    Nous avons découvert la Cité d’Atlantis, cité des Anciens un trésor d’histoire pour Daniel. Il faut le voir lorsqu’il en parle. On dirait un gamin devant une glace à la fraise. Là-bas, nos équipes ont rencontrés un autre méchant, les Wraiths. Peuple se nourrissant exclusivement de la force vitale des humains. Ils sont encore plus sympathiques que les Goa’ulds dis donc… C’est en 2010 qu’un vaisseau ruche est entré dans la Galaxie de la Voie Lactée. La Cité d’Atlantis – qui est aussi un vaisseau – est venue nous aider, quittant la Galaxie de Pégase où elle logeait depuis des millénaires. Après le combat, Sam a quitté l’US Air Force, reprenant une vie civile. Je crois qu’elle avait une idée en tête lorsqu’elle l’a fait. Nous devions avoir la même. Je l’ai demandé en mariage. Après dix ans à la côtoyer je savais que je l’aimais mais nos grades respectifs nous l’empêchaient. Aujourd’hui, rien ne nous retient. Nous sommes mariés depuis Octobre 2010. Les jumeaux ont même fait un feu d’artifice le jour du mariage.

    Malheureusement, même si le combat contre le vaisseau ruche fut remporté, ce dernier a réussi à envoyer les coordonnées de la Terre aux autres Wraiths. Les voilà donc en route vers notre Belle Terre. Le Général Landry a pris sa retraite et je fus nommé à sa place. Enfin… je n’ai accepté que si je pouvais faire moi-même mes équipes que ce soit sur Terre ou sur Atlantis. Même si Woolesey était très compétent le gouvernement le préférait à la Commission, j’ai donc nommé Samantha à la tête d’Atlantis, elle a accepté. Jonas Quinn, un Kélownien est revenu sur Terre, je lui ai proposé d’entrer dans l’équipe de SG-1 comme avant, en compagnie de Daniel, Teal’C et Vala. Il a accepté. C’est ainsi que s’achève une partie de mon histoire, j’espère juste qu’elle ne s’arrêtera pas là.



Dernière édition par Jack O'Neill le Jeu 28 Avr - 10:23, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jonathan J. O'Neill [OK]   Jonathan J. O'Neill [OK] Icon_minitimeMar 26 Avr - 16:12

Votre dossier est passé à la Commission. Vous avez signé le contrat de non-divulgation. Nous avons, donc, le plaisir de vous annoncer que désormais vous êtes intégré[e] au programme Top-Secret intitulé Stargate: la Porte des Étoiles. Vous venez d'être admis[e] sur la SG-C pour être intégré[e] à son commandement de la base. Vous serez sous les ordres de président des états unis.

Vous pouvez désormais vous balader où bon vous semble. Vous pouvez également faire votre demande de liens ainsi que vos demandes de missions. Vous pouvez également commencer à écrire votre journal de bord.


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