♣ Race ... Tau'ri ♣ Age [date de naissance] ... 31 ans [18/03/1980] ♣ Nationalité ... Grecque ♣ Militaire ou Civil ... Civil ♣ Profession ... Spécialiste de la technologie goa'uld et asgard et bon connaisseur de la technologie ancienne ♣ Base d'affectation ... SG-C ♣ Équipe d'affectation ... SG-12 ♣ Caractère ... ♣ Feat ... Matthew Morrison
J'aime : Ma femme est mon tout. Je l'aime à en perdre la raison. Rencontrée lors de mon affectation au SGC, il y a de cela plusieurs années, nous ne nous sommes plus quittés.
Je n'aime pas : Ces créatures des enfers dont l'Univers préserve l'existence. Leur mort m'apporterai satisfaction. Bientôt, le moment viendra.
Ma plus grande peur : Mourir sans avoir pu apprécier la joie d'être père. Pour le reste, j'avoue que peu de choses parviennent à m'atteindre mais peut être qu'à un moment donné, je me sentirai en position de faiblesse et là, j'aurai peur.
Mon cauchemar a répétition : Loin de notre chère Terre, me voilà, marchant dans une sombre brume. Des coups de feu de tout coté mais personne à l'horizon, tout à coup, une douleur. Je me retourne, ma femme, Anaïs, me fait face, la folie dans son regard, un scintillement infernal au fond de ses prunelles. Elle me tire dessus. Je tombe. Elle rigole. L'observant avec attention j'entends enfin sa voix, bientôt couverte par un tir terrien. Elle s'écroule. Le sang afflue et son regard à nouveau comme avant se fixe sur moi. J'y vois son amour mais, j'y vois aussi la mort. Elle me quitte alors. La douleur m'emportant, je la rejoins dans l'au-delà. Au réveil, je constate que ma femme est bien là, vivante et endormie, belle comme toujours. Ce cauchemar me hante depuis notre union.
Mon plus beau rêve : Sauver l'Univers de ces monstres et vivre heureux, avec une famille unie.
Mon plus beau souvenir : Peut être étais-ce le jour de ma rencontre avec Anaïs ou bien celui qui me fit rentrer au SGC ou bien encore celui où mes parents et mon épouse furent réunis pour une journée camping. Je ne saurais le dire mais ils restent sans conteste mais plus beaux souvenirs.
Ma plus grosse bagarre : Bagarre avez-vous dit ? Ce peut-il qu'il y en ai tant que je ne m'en souvienne pas suffisamment pour en faire un résumé ? Je ne peux que parler de ce jour, où, lors d'une mission, je fus contraint de tuer mon ami et chef d'équipe alors qu'une entité venait de faire de son âme, son territoire. La violence des coups infligés m'avaient forcé à rester plus de trois mois dans un lit miteux d'hôpital. Voilà certainement une bagarre violente qui restera pour moi l'un de mes pires souvenirs.
son HISTOIRE .
Me noyer dans le vaste monde.
Le bâton taillé en pointe par Sean vola à travers l'air brûlant de Grèce. Atteint sa cible. Fut repoussé brutalement et alla s'écraser dans les herbes sèches.
« Non ! Non, pas comme ça Caleb ! Suit le mouvement, ne le bloque pas ! Imagine que ça soit une lance en fer de vingt kilos, tu te briserais les os avant d'avoir pu dire ouf ! Encore. »
Ahanant sous l'effort, le garçon passa sa main sur son front trempé de sueur et s'apprêta à recommencer. Il était là, du haut de ses quinze ans, a tenir une masse à piques terriblement lourde dans une main et à bondir sur le sol desséché de Trikala. Depuis des heures. mais Sean continuait, impitoyable. D'un geste fluide il attrapa un autre bâton et le lança d'un geste précis et rapide vers Caleb. Il contra l'attaque comme auparavant et capta le soupir de son père. Il fronça les sourcils, se campa sur ses jambes et fixa le bâton suivant avec détermination. Fais le. Un sourire étira une seconde les lèvres de Sean, aussi immatériel qu'un rêve. Il se déplaça d'un pas souple à gauche, son fils en fit un à droite, aussi agile et fluide que lui. Ils ne se lâchaient pas des yeux tournant comme deux fauves sur un cercle invisible que seuls leurs pieds entrainés dessinaient machinalement.
Sans crier gare, l'homme tira sur Caleb. Le bâton frappa sourdement contre la masse et alla s'écraser plus loin. Insatisfait, il avança encore et en lança un autre, puis un autre, et un autre encore. A bout de souffle, le garçon poussa un cri de rage et regarda le dernier bout de bois venir dans sa direction. Et le temps s'arrêta. Son cœur ralentit et ses battements devinrent profonds. Et brusquement, il sut exactement quand frapper et où frapper. Caleb détendit son bras au dernier moment, frôla le bord du bâton sans l'arrêter net, poursuivit son mouvement et dans un geste d'une rapidité inhumaine il l'envoya continuer sa course plus loin. Dans un bruit mat, le bois se ficha dans le bois. Le bâton dans l'olivier. Le souffle court, le garçon regarda une seconde son œuvre. Bon sang, comment avait-il pu... La lame siffla. Prenant une grand bouffée d'air, il pencha la tête en arrière instinctivement et évita la courbe meurtrière du poignard que son père maniait avec tant de grâce. Sean s'immobilisa, le visage impassible et les yeux pétillants d'une fierté sans pareille.
« Tu as réussi... » lâcha-t-il dans un souffle. Il se reprit et rengaina son arme. « J'aurais pu te tuer une bonne dizaine de fois, ne lâche jamais des yeux celui qui t'attaque. Tout ce qui t'importait c'était ton triomphe, tu aurais pu y perdre la vie. N'oublie pas, que même avec ces armes anciennes tu dois savoir te battre et surtout, que la modestie... » « ...est le seul éclat qu'il soit permis d'ajouter à la gloire. Oui papa. Je sais. » finit Caleb. « Non tu ne sais pas jeune coq ! » il donna une petite tape affectueuse derrière la tête de son fils. « Les épreuves de la vie n'ont aucune pitié pour les faibles et ceux qui se croient plus forts que les autres. » « Tu en parles comme s'il était mauvais de vivre. N'est ce pas toi qui parcourait le monde lorsque j'étais tout bébé, laissant maman seule, uniquement pour un pays dont la vanité est sans pareil... » « Ils n'est pas mauvais de vivre, certes. Mais dehors, le monde et les gens qui t'entoure ne seront pas tous comme ta mère et moi. Je sais que j'ai fait des erreurs par le passé et je répare toujours mes tords mais toi, tu ne dois pas faire les mêmes erreurs. Tu dois savoir te battre pour éviter l'armée et vivre ta vie comme tout autre homme. » « Pourquoi ne pas savoir me défendre ferait-il de moi un homme de l'armée ? Je n'en ai pas envie.» «Tu n'as encore rien vu jeune homme. La vanité et le pouvoir restent maître en ce monde et, si tu ne sais pas te défendre, tu deviendras comme moi, un paria embrigadé très tôt dans un univers néfaste. Tu m'as dit encore hier vouloir faire comme ces hommes d'autrefois, Archimède ou Empédocle mais, si tu ne te bats pas, tes objectifs ne seront jamais atteints. Tu comprends ?» « Oui, papa. Quand verrais-je maman ? Elle me manque tellement.. Pourquoi ne me rend-t-elle jamais visite ? A-t-elle.. honte de moi ? » « Non fils, je suis sur qu'au fond d'elle même et telle que je la connais, Ether est fière de toi. Mais le montrer serait aussi dangereux pour elle que pour toi ! Ne sois pas trop impatient. Quand le jour viendra elle te rendra visite. Et tu seras prêt. Crois moi. »
Et sur ces mots il dégaina de nouveau son poignard et recommença l'entrainement.
Dangereux était très certainement le mot à employer en cet instant. Le disjoncteur divisionnaire étendu sur la table, à coeur ouvert devant ses yeux et un tournevis dans les mains, Caleb cherchait le meilleur moyen pour augmenter le débit d'électricité et peut-être si cela était faisable, détourner une partie de l'énergie.
« Encore là-dessus gamin ? Le monde ne fut pas révolutionné en un jour, vient donc souper, ta précieuse boîte sera encore là dans une heure ou deux.» « Encore une minute s'il te plaît, le trafic s'effectue déjà avec plus de fluidité, je vais trouver ce maudit dérivé... encore un instant.» « Bien fils.»
Ébouriffant affectueusement les cheveux de l'adolescent, Sean repartit comme il était venu. Le jeune Caleb, toujours penché sur l'engin n'avait, semble-t-il, rien remarqué de l'expression de lassitude ou, peut-être était-ce de tristesse, sur le visage de son paternel. Quelques temps après son intervention, Sean réapparut, un plateau rempli en main, et le déposa sans bruit sur l'établi que le jeune homme avait délaissé pour la grande table. L'homme observa son fils et un sourire de satisfaction l'envahit. Il retourna dans le salon et ouvrit son vieil écritoire où la plume traînait encore. S'installa sur la chaise haute et prit une feuille. Les bonnes traditions ne partait pas. Sean avait appris à son fils l'art du combat comme celui, complexe de l'écrit à la plume de même que son père avant lui, le lui avait enseigné. Trouvant son inspiration en mâchouillant le bout de la plume, l'homme traça soudain ces lignes :
« A toi, la chair de ma chair, mon chef d'oeuvre et mon bien le plus précieux. Cette lettre, je l'écris après une longue hésitation. Plusieurs fois, j'ai pris cette plume avant ce jour mais une pudeur non dissimulée m'assaillait. Mon fils après cette longue vie, je te regarde en tant qu'homme juste, raisonnable et plein d'émotion … Je considère qu'il est de mon droit que tu prennes le temps de lire ces quelques lignes. Après cela déchire-les ou jette-les, fait comme bon te semble. Tu n'es pas sans savoir la maladie qui m'accable tandis que le temps fait son oeuvre. Tu sais aussi certainement le soin que j'ai mis dans ton apprentissage et ton ouverture au monde. Je n'ai pas fait tout cela pour ma satisfaction personnel. C'est un désir ardent, une envie certaine que tu puisses vivre la vie que tu désires avec les gens que tu souhaitent. Je n'ai jamais été ce que l'on pourrait appeler un père idéal, j'en ai conscience. Entre mes exigences et mes grandes colères, tu n'as pas dû t'amuser chaque jour. Ce n'est certainement pas grâce à cette lettre que j'espère m'absoudre de mes tords et demander ton pardon mais il faut que tu saches. La fierté, tu es ma plus grande fierté, mon plus grand bonheur. Tu es devenu un jeune homme fort et déterminé habité par un grand savoir et une passion. Celle-là même qui vous construit un homme et le détruit au même instant. La mort se rapproche mon fils, je la sens. Comme une odeur, une sensation intense. Mais, avant que je ne cède au poids du monde, j'aimerai que tu respectes mon souhait. Vit ta passion, vit-la avec ardeur mais ne te laisse pas entraîner par elle, loin de la réalité d'une vie. Devient un brillant scientifique, devient l'un des meilleurs mais ne soit pas posséder par ce désir. Fait ta vie, ait des enfants, une femme merveilleuse. Mais surtout mon fils, soit heureux. »
Reposant la plume avec ferveur. Sean se saisit du papier noircit d'encre et l'emmena jusque sur la natte de son fils. Il la lira bientôt et ce jour-là, il ne sera plus de ce monde.
Chaleur. Étouffante. A côté de lui le souffle sourd et uni d'une trentaine d'hommes brouillaient ses sens et faisaient vibrer ses veines. Et comme eux, il respirait. Ensembles. C'était toujours ainsi, ils avaient beau être innombrables il n'existait pas plus parfaite cohésion que celle de scientifiques lors d'une grande découverte. Rigueur et passion oblige. Un ordre tomba, sec et indiscutable. Caleb plaça son sac sur les épaules, ses yeux d'ambre dévisageant le paysage désertique devant eux. La tension monta immédiatement chez les civils. On avait repéré un grand groupe de jaffas dans les plaines de cette planète ces derniers jours. Certains disaient qu'il étaient des centaines, envoyés par Anubis lui même, et que des unacs couraient après eux pour les empêcher de ralentir. C'était pour ça qu'ils avaient fait autant de chemin en si peu de temps. Venus d'on ne sait vraiment où, ils tuaient et pillaient les villages, évitaient les grandes villes et avaient toujours mit en déroute les quelques soldats des cités. La colère grondait dans la tête de Caleb. La colère et la haine. Le seul autre sentiment que connaissait en cet instant Cal, c'était la vengeance. Peut lui importait de mourir ici, tout ce qu'il voulait c'était en emporter le plus possible avec lui. Son voisin capta la colère froide qui animait ses yeux. Grimaçant, il lui donna un coup de coude et Caleb sembla revenir à lui. S'il commençait à penser à ça maintenant il ne serait pas capable de se maîtriser. Et un seul maillon faible dans l'équipe pouvait mener toute leur mission à sa perte. Un cri d'alerte retentit sur la gauche et enfin le jeune scientifique les vit. Sentit sa soif de sang lui monter à la tête et se fit violence pour ne pas bouger. Se protégeant derrière la dizaine de militaires présents ainsi que les autres civils. Il attendit l'impact. Qui ne tarda pas à venir. Ils virent les premiers jaffas tomber, la salve de balles parfaitement synchrone ayant fait son oeuvre. Le sang giclait. Fort. Encore et encore. Jusqu'à ce que les derniers jaffas, les forces amoindris, tentent de s'enfuir en courant. Pas un ne fut épargné.
« Et une armée de vaincue, une. A qui la suite ? » clama haut et fort Cal, déclenchant tout autour de lui une vague de sourires victorieux. Des éclats de rires joyeux finirent par les remplacer et une silhouette familière s'approcha de lui. « Une chose est sur, cher Cal, peux nombreux sont ceux qui auraient la langue aussi bien pendue que toi ! » « Parles pour toi, Anaïs. N'es-tu pas de celles qui préfèrent les crocs des mots plutôt que la barbarie d'une balle ? » « Tu serais surpris chéri... » renchérit l'autre en souriant doucement. « Surprend moi ! »
Et dans un éclat de rire sauvage elle le repoussa, sortit les poings, un sourire carnassier aux lèvres. Se mettant instinctivement en position de combat, surprit par la vivacité de la jeune femme, Caleb se rendit compte qu'Anaïs n'attendait que cela. Elle avait obtenu ce qu'elle voulait de lui, un petit sourire narquois apparaissant sur son visage.
« Assez ! Caleb, Anaïs, puisque l'énergie vous brûle encore les veines, occupez vous de préparer le bivouac. Demain nous reprendrons le chemin du SGC mais ce soir, nous campons. »
Campé sur ses jambes, au moins aussi musclé qu'un champion et plus fort qu'un bœuf, la lueur amusée qui éclairait les yeux du colonel Milt ne trompa personne. Inclinant légèrement la tête avec une soupir d'exaspération totalement feint, Anaïs donna un coup de coude à Caleb qui avait gardé son petit sourire et toisait presque insolemment le militaire qui ne faisait que les houspiller, eux les ôh combien grosses têtes de l'équipe depuis le début de la mission. Puis, sans faire de commentaires il suivit son amie qui commençait déjà à monter les tentes. Milt leva les yeux au ciel en soupirant et tourna la tête vers les autres soldats et son vieil accolyte, Ivan, lui aussi civil, qui avait observé la scène avec attention. Ah les jeunes !
Atlantis. Il en avait tellement entendu parler. Entre les légendes présentes dans les ouvrages et les nombreuses recherches du Docteur Jackson, Caleb n'avait que pu apprécier cette fabuleuse cité. ... Marchant paisiblement dans la forêt bordant cheyenne mountain, il réfléchissait à la nouvelle inquiétante communiquée par les hauts chefs du programme « porte des étoiles ». Brusquement, l'homme vêtu de sombre sortit de sa cachette et se planta devant Cal, une arme entre les mains. Perturbé par le sourire carnassier qui commença à éclairer les yeux de sa future victime, il rassura sa prise sur la garde de son pistolet, tenta de se donner un air menaçant.
« Tes infos sur ce lieu mon petit, ou tu ne rentreras plus jamais chez ta chère et tendre mère. » « Qui vous dit que j'ai une mère ? Qui vous dit qu'elle a une maison, et que j'y suis invité ? Qui vous dit que j'ai des informations quelconques ? Et qui vous dit que... » il sourit en grand. « .. la simple idée de me battre face à un apprenti voleur me terrifie jusqu'à me glacer l'échine ? » « Je.. » commença l'homme en reculant instinctivement. « Qui te dis que tu te tiens face à un simple fils de bonne famille, sais-tu que tu trouves non loin d'un camp militaire avec hommes et femmes entrainés à tuer ? Ami, je vais te faire une confidence... » il s'approcha, une lueur folle dans les yeux. « ... mourir loin d'ici serait la plus belle mort à mes yeux, et j'espère - oh oui j'espère - qu'elle ne tardera pas à venir me prendre... L'autre monde doit être merveilleux à voir... Mais que dirais-tu d'aller l'admirer avant moi ? »
Dans un couinement pitoyable, l'homme fit demi tour et s'en alla en courant. Cal pencha la tête sur le côté, une moue amusée aux lèvres. Les gangsters ne sont plus ce qu'ils étaient ! L'idée de le poursuivre lui effleura l'esprit mais les ennuis seraient alors tombés rapidement et sa chère et tendre Anaïs l'attendait pour dans une petite heure. Laissant ses poings dans ses poches, il se jura de faire le rapport de ce moment au général. Tout fou devant être pris un temps soit peu au sérieux, il se promit de rester suspicieux.
Il venait d'accepter son ordre. Caressant une dernière fois le visage de son épouse endormie. Il prit son bagage, les clés dans le pot et sortit doucement. Se retournant une dernière fois :
« Je reviens vite mon amour, attends-moi. » murmura-t-il calmement.
Lentement, il grimpa dans son véhicule et conduisit en direction de la colline. Sa soif de connaissance et celle, de vengeance, encore innassouvi il ne cesserait pas de sitôt le combat. Atteignant l'étage voulu, Cal rentra dans le vestiaire où d'autres comme lui se changeait. Rapidement il se vétit et rapidement, rejoignit la porte qui s'activait. Partir à l'aventure. Voilà quelque chose qu'il aimait. Combattre les wraiths, son nouveau passe-temps.
real LIFE .
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Dernière édition par Caleb Jale le Lun 6 Juin - 19:18, édité 3 fois
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Bienvenue chez nous le code c'est bon tu l'as trouvé ^^"
Edit je viens de lire ta fiche et j'avoue avoir du mal a comprendre l'enfance de ton personnage. Il a été entrainé par son père oui mais pourquoi était-il en dangers. Sinon la fin de ton histoire aussi. Atlantis est sur terre désormais et la guerre contre les wraiths va avoir lieux dans la galaxie de la voie lacté. Aussi toute les équipe du sgc peuvent y être envoyé a tout moment alors sauf si tu t'inscrit sur atlantis où là oui tu irais y vivre je ne voit pas pourquoi tu quitte ta femme. Enfin voilà c'est des petits détails que je comprend pas sinon la fiche est bien.
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♣. Age : 32 ♣. Nombre d'explorations : 146 ♣. A passé la Porte le : 14/04/2011
désolé du double post (c'est pour que ça t'annonce que quelqu'un d'autre a posté ^^" ) il faudrait aussi expliquer comment il a apprit toutes ses connaissances en matière des anciens et et des goa'uld. Parce qu'on a plus l'impression d'y voir un militaire et du coup on comprend pas comment il est parvenue a devenir scientifique . juste préciser si c'était sa vocation ou quoi.
Je suis l'explorateur[rice] Invité
Invité
Sujet: Re: Caleb Jale Jeu 2 Juin - 13:22
Merci pour l'accueil ^^
En effet à la relecture, j’aperçois les erreurs. Je m'emploie à les corriger. Pour ce qui est de la fin, je n'avais nullement l'intention de le faire partir pour toujours. Même si j'avoue avoir mal formulé mes phrases. Je retouche à tout ça très vite et y ajoute des précisions ^^
Je suis l'explorateur[rice] Pearl L'ancienne
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Votre dossier est passé à la Commission. Vous avez signé le contrat de non-divulgation. Nous avons, donc, le plaisir de vous annoncer que désormais vous êtes intégré[e] au programme Top-Secret intitulé Stargate: la Porte des Étoiles. Vous venez d'être admis[e] sur la SG-C pour être intégré[e] à l'équipe Scientifique de la base. Vous serez sous les ordres de Daniel Jackson.
Vous pouvez désormais vous balader où bon vous semble. Vous pouvez également faire votre demande de liens ainsi que vos demandes de missions. Vous pouvez également commencer à écrire votre journal de bord.
BONNE EXPLORATION
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Sujet: Re: Caleb Jale
Caleb Jale
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